La seule excuse de “Dieu”, disait Stendhal, c'est de ne pas exister. Personnellement, si j'utilise toujours les pincettes-guillemets, je ne lui en veux pas et quand je l'appelle “Pouet Pouet ”, c'est plus gentil qu'irrespectueux. J'en veux par contre aux hommes qui inventent et colportent à son sujet des fables stupides. Ce sont eux dont je me moque et que je combats sans trêve. Car, dit Julius dans mon théâtre, ce n'est pas parce que “Dieu” n'existe pas qu'il ne faut pas s'en débarrasser !