GRAND ET ÉPHÉMÈRE
Par Michel Bellin le jeudi 23 avril 2009, 08:27 - Lien permanent
Ce qui émeut le contemplateur jusqu'aux larmes, c'est le regard de bonheur enivré qu'une belle jeune femme fixe sur son époux. On éprouve alors toute la mélancolie de l'automne, tant à cause de la grandeur que de la fugacité du bonheur humain.
Nietzsche, Humain, trop humain II, « Le voyageur et son ombre », 271, trad. R. Rovini, folio essais, Gallimard.
Nietzsche, Humain, trop humain II, « Le voyageur et son ombre », 271, trad. R. Rovini, folio essais, Gallimard.