Pas de deux diplomatique au Vatican. Sans aucune importance."Rendez à César ce qui appartient à César, à Dieu ce qui revient à Dieu" disait un certain Ieschoua qui n'était pas bien en cour, lui. Mais à Roma comme à Paris, on s'en fout : notre machiavélique Césarion et l'onctueuse Diva s'échangent des gadgets d'un autre âge en amusant la galerie ! Ceci dit, c'est donnant-donnant : si tu mets en sourdine tes lois bioéthiques, tu peux avec ma bénédiction draguer les cathos. Dieu reconnaîtra-t-il les siens ?