Bagne littéraire,

réclusion solitaire,

vice salutaire…

Claustré chez mon logeur préféré

(“Que serais-je sans lui

qui vint à ma rencontre…”),

dans le calme clodoaldien

je me suis lancé ce défi insensé :

m’enfermer durant 10 jours,

téléphone coupé,

télé débranchée,

vivres comptés…

pour pondre non-stop

mon triptyque romanesque

« Les amants des Praz ».

Un retour inattendu à la féminité

(de la gentille Mado)

et à mon pays natal injustement boudé…

Ouf ! une œuvre hétéronormée.

Enfin !

(sauf que ça se gâte dès la page 138).

Sur l’icône jointe, tous mes ingrédients

sont involontairement réunis :

dicos, café, scotch, Sopalin…

ne manque que ma robe de chambre élimée

et bien sûr ma Muse, un tantinet prude

et bien trop coquette

pour poser sur le Net

Heureusement ou hélas –

gueuse ou bonne fille,

elle ne me lâche pas les baskets !

Pour l’instant…

À ce jour (3 mai à midi)

déjà 272 pages écrites

sur les 500 prévues.

Courage !

Fin du délicieux supplice :

le 8 mai prochain.

Parution (ebook/kindle) le 1er juin en 2 tomes, si tout va bien.

Edition papier (en un seul volume) en septembre prochain

uniquement sur souscription

(un bon de réservation sera proposé ici, sur le blog).

Merci d’avoir participé

à mon gentil délire

et de me soutenir moralement.

Avec mes salutations cordiales et…

zut, plus le temps, ma pause est déjà finie, sorry,

faut que j’y retourne !

Bellinus


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