Mon brûlot rebaptisé « FLIP-FLOP » paraît le 4 juillet prochain. Un formidable cadeau d’anniversaire. Disponible soit en version numérique chez Amazon Independently published (7,99 €) soit en version papier aux Éditions du Net (21 €). Plus de 200 pages avec de belles illustrations en couleurs. Ci-dessous, la 4e de couv définitive… après moult réécritures, mon éditeur ne tolérant pas un dépassement de 1700 caractères, espaces compris !

__« Comme “DIEU”, c'est non seulement pompeux mais aussi rebattu, ça court les rues et les geôles depuis la nuit des temps, je Le surnomme “FLIP-FLOP”. Ce sobriquet fleurant la gaminerie (« Éternel homme-enfant ! » soupire mon cadet), est familier et moins impressionnant. En réalité, le DIEU omnipotent n’est qu’un gueux omniproutant : il bégaie et il pète. Un formidable flop, encore plus fort que le bide de Boutin avec son « Chrétiens, de l’audace pour la politique » ! Bref, comme disait Pépin, “il était un petit dieu, pirouette cacahuète”, et c’est formidiable, non ? Donc, FLIP-FLOP. » (Extrait)

Ainsi, face à l’Usurpateur Public n°1, tous les coups sont permis par l’apostat. Mais il ne s’agira pas ici d’un froid traité d’athéologie. Plutôt d’une tonitruante contre-offensive où l’ex-prêtre, toujours très remonté, jette avec fougue ses derniers feux : une trentaine de scuds puisés dans l’arsenal de son œuvre prolifique. À longue ou brève portée. En gros et dans le détail. Frappes tous-azimuts et sans délicatesse chirurgicale. Aux grands maux (divins), les grands remèdes.

Devant une telle colère, le lecteur, parfois sidéré, devra patienter jusqu’à l’épilogue (De l’ire à l’Inirr) – anormalement étoffé – pour comprendre que la mèche fut allumée à l’époque du séminaire et des culottes courtes, dans l’odeur rance du réfectoire et entre les pattes velues d’un « gentil ogre ».

Sauf surprise de dernière minute, tout armistice paraît encore lointain.__