Trop de boucan Trop de gens Trop de béton Trop de stress Trop de bagnoles Trop de vélos Trop de trottinettes Trop de métro Trop de retards Trop d'incivilités Trop de grèves Trop de pubs Trop d'ennui Trop de solitude Trop de vie surjouée Trop de noir Trop de jaune Trop de blanc Trop d'arc-en-ciel Trop de faciès Trop de rastaquouères Trop de vains bipèdes Trop de canins Trop de faux amis Trop d'air anémié Trop d'eau encapsulée Trop d'aurores artificielles Trop de périf démentiel Trop de crépuscules néons Trop de petits cons Trop de bourgeois indifférents Trop d'intellos Trop de ridicules bobos Trop d’homoncules bios Trop de dogmatisme urbain Trop d'orgueil parisien Trop de faux-semblant Trop de vrai néant Trop de trop plein Trop de trop vide Trop de tout Trop de rien Trop, c'est trop ! Et moi en trop !

BYE BYE Paris !

Sans regret et sans merci.

Écrit le jour de mon bienheureux exode, le 1er octobre 2022.